Juchée sur son vélo Raleigh, une adolescente de treize ans découvre un raccourci qui lui permet de retrouver tout ce qui est perdu : elle s’appelle Vic McQueenn. Au volant de sa Rolls Royce de collection, un homme bien plus âgé qu’il n’y parait enlève des enfants pour les conduire à Christmasland, le pays du Noël éternel, dont ils ne reviennent jamais : il s’appelle Charles Manx. Tous les deux capables de franchir les voiles de la réalité, Vic McQueen et Charles Manx vont s’affronter dans un combat à mort.
Le roman se lit bien, le passage entre les différents chapitres est original lorsque Vic se déplace et Charles Manx est monstrueux. Nosfera2 montre que Joe Hill a un véritable talent de conteur.
J’ai beaucoup apprécié l’allusion faite à un personnage du Costume du mort : tout comme Stephen King, son père, Joe Hill n’hésite pas à faire le lien entre ses différents romans par de petits détails qui contribuent à créer un univers unique.
Une critique qui donne à nouveau envie de lire le livre (des personnages à fort potentiel) sans pour cela le trahir au point d’en manger tout le suspens.
Je mets dans mon carnet
Aunryz
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Merci pour ce petit article intéressant ! Je lit actuellement cornes de joe hill et tu m’as donné envie de lire ce Nosfera2 😉
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