
Inspiré par « Comme une passerelle » (« I am the Doorway ») nouvelle de Stephen King issue du recueil Danse macabre (Night Shift)
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Je déconseille les romans d’horreur, sauf si vous êtes masochistes. Dans ce cas, Le Fléau de Stephen KING est parfaitement adapté à la situation et le début vous fera suer à grosses gouttes;
Je recommande les livres drôles et légers comme :
– Trois hommes dans un bateau de Jerôme K. JEROME, un grand classique, où l’on suit trois anglais et un chien dans un bateau
– Sans parler du chien de Connie WILLIS, roman de Science-Fiction qui doit beaucoup au précédent
– Le bouquin de l’Humour de Jean-Louis CHIFLET ; sur la couverture, on peut lire une citation de Groucho MARX qui donne le ton « Entre le moment où j’ai pris ce livre et celui où je l’ai reposé, je me suis tordu de rire. Un de ces jours, il faudra quand même que je le lise.«
– Divorce à la chinoise de Frédéric LENORMAND où le Juge Ti se retrouve avec une épouvantable récompense sur les bras
– Y a des jours comme ça de AGN, c’est-à-dire moi, une histoire policière drôle et légère, ce n’est pas moi qui le dis, ce sont mes parents (ils n’auraient pas osé me dire le contraire) et les trois évaluations qui m’ont été laissées sur Amazon par des lecteurs
J’étais en train de terminer le premier volume, assise à mon bureau, impatiente de connaître le suite du récit de Beverly Marsh. Je me suis levée pour prendre le deuxième volume et j’en ai profité pour allumer, la nuit tombant vite à cette époque de l’année.
Je me suis assise et là, je me suis aperçue que mes jambes étaient dans le noir, sous le bureau. Un noir profond, insondable qui pouvait abriter n’importe quoi… et pourquoi pas un clown sanguinaire. J’ai regardé mes jambes, j’ai regardé mon livre, puis je me suis décidée : je me suis assise en tailleur sur mon bureau et j’ai continué à lire.
Juchée sur son vélo Raleigh, une adolescente de treize ans découvre un raccourci qui lui permet de retrouver tout ce qui est perdu : elle s’appelle Vic McQueenn. Au volant de sa Rolls Royce de collection, un homme bien plus âgé qu’il n’y parait enlève des enfants pour les conduire à Christmasland, le pays du Noël éternel, dont ils ne reviennent jamais : il s’appelle Charles Manx. Tous les deux capables de franchir les voiles de la réalité, Vic McQueen et Charles Manx vont s’affronter dans un combat à mort.
Le roman se lit bien, le passage entre les différents chapitres est original lorsque Vic se déplace et Charles Manx est monstrueux. Nosfera2 montre que Joe Hill a un véritable talent de conteur.
J’ai beaucoup apprécié l’allusion faite à un personnage du Costume du mort : tout comme Stephen King, son père, Joe Hill n’hésite pas à faire le lien entre ses différents romans par de petits détails qui contribuent à créer un univers unique.
Si on vous propose d’acheter un fantôme sur un un site d’enchères en ligne, méfiez-vous : le vendeur pourrait être mortellement sérieux. Judas Coyne, ancien leader du groupe Jude’s Hammer va l’apprendre à ses dépens. En se portant acquéreur du fantôme et du costume que celui-ci hante, Judas ne s’attendait pas à ce que le fantôme envahisse sa maison et lui voue une haine mortelle. Accompagné de ses chiens et de sa petite amie gothique du moment, Jude s’enfuit pour comprendre qui est le mort et surtout, comment lui échapper.
Le costume du mort est le premier livre de Joe Hill que j’ai lu : je n’en attendais pas grand chose, et j’ai été agréablement surprise. Le fantôme fait peur, les évènements qu’il provoque sont glaçants et la tension augmente tout le long du roman. Joe Hill est incontestablement un écrivain à suivre.